Avec l’arrivée des consoles nouvelles générations, d’écrans toujours plus grands et d’équipements sonores toujours plus performants, il est de plus en plus simple de créer une atmosphère flippante dans le salon. Les petits gars de Techland l’ont bien compris et débarquent avec un jeu qui pourrait bien vous donner quelques sueurs froides.
Il était une fois des zombies…
Imaginez-vous dans un univers post-apocalyptique où une épidémie aurait infecté toute la planète (oui je sais, c’est la douzième fois cette année…) et où vous incarnez évidemment un des personnages forts d’un camp de réfugiés. Vous aurez à trouver des vivres, des batteries et à réussir tout un tas de missions pour assurer la continuité de l’espèce humaine en apportant le confort vital nécessaire aux quelques survivants. Contrairement à de nombreux récits du genre, ici les infectés sont très agiles et rapides. Si la journée les choses se passent plutôt bien, la nuit d’étranges créatures font leur apparition et ne vous laissent plus qu’un seul choix : courir, courir, courir ! Dans Dying Light, on ne défonce pas des hordes de zombies à coup d’armes lourdes et c’est cette subtilité qui crée tout l’intérêt du jeu.
Un petit côté Mirror’s Edge très intéressant
Lors de ma petite session de jeu, un développeur m’a rapidement briefé sur les touches de la manette et chose étonnante, la touche RB (R1 en langage Sony), permet de sauter ! C’est très déroutant et ça m’a causé quelques soucis de prime abord. Il faut dire que j’ai directement été propulsé dans un niveau assez avancé du jeu où je devais rejoindre des checkpoints pour rebrancher l’électricité et récupérer divers éléments. Je me suis rapidement retrouvé, au mauvais moment, au mauvais endroit … J C’est là que j’ai pu découvrir que le jeu propose un mode « Free Running » totalement dantesque qui n’est pas sans rappeler Asssasin’s Creed ou Mirror’s Edge. ! Vous pouvez en effet vous accrocher partout, grimper sur les toits, esquiver les ennemis et, grâce à cela, traverser les décors à toute allure. L’ambiance visuelle et sonore contribue à mettre une pression énorme tout au long des séquences de fuites… On a même l’impression de sentir les zombies nous effleurer grâce aux vibrations de la manette… Totalement effrayant ! Un autre élément de gameplay intéressant est l’utilisation de combinaisons de touches permettant de réaliser quelques « tricks ». Il est par exemple possible de foncer tout droit vers un zombie et, en appuyant sur B, exactement dans le bon timing, lui sauter par-dessus en prenant appui sur lui. Imaginez-vous la scène dans le noir, avec d’autres zombies à vos trousses… Faut pas se louper 🙂
Un axe intéressant
Je vous avoue très sincèrement que je ne suis pas un grand fan de « Survival Horror » et je me suis retrouvé dans cette session un peu par hasard… J’aime bien l’approche proposée par Dying Light car les sessions de free-running dans cet univers géant sont excellentes et dénotent un peu des FPS classiques souvent associés à ce style de jeu. Je suis impatient de voir la version finale proposée par nos amis polonais de Techland J Rendez-vous en 2014 sur PC, PS4, et Xbox One.
Hmmm Zombies Zombies 🙂
Tiens c’est drôle, j’avais fait un titre en hommage à Cranberries avant de changer d’avis (In your head, in your head)
C’est clairement le genre de jeux auxquels j’ai toujours eu envie de jouer, mais mon côté flipette retient toujours ma main lors de l’acte d’achat. Et pourtant, j’avoue que ton article m’en donne méchamment envie!
bah pareil à vrai dire et je peux te dire que j’ai enlevé le casque et rendu la manette avec mon coeur qui battait la chamade .
Manifestement un futur excellent jeu ! Une nouvelle occasion de faire chauffer ma bête :p (Je parle du PC hein).
J’suis assez client de survival, en revanche comme je suis une grosse tapette, j’ai souvent beaucoup de réticence à jouer aux jeux d’horreur. On verra bien avec celui-ci.